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Friday, December 4, 2020

1971  Year of Rupture (9)

  • 1971 (06/30) time of the so-called majority, as I no longer benefit from the excuse of mine, now outdated, minority. I am out of the 1st circle, the patrilinear one. 1st rupture, an escape and a 1st exit.
  • 1971 (10/10) time when I am given 一 by Pénélope Bourgeois, 李平教授 一 a new name: 葛麒; a name that combines the male aspect of the mythical hooved chimerical creature known, in Chinese and other East Asian cultures, as 麒麟  said to appear with the imminent arrival or passing of a sage or illustrious ruler  with the name 葛, clan name of ancestors like 葛洪 who wrote the 抱朴子Bàopǔzǐ, a book that I first encountered in 施舟人Kristofer "Rik" Marinus Schipper's house, near Denfert-Rochereau and the Catacombes of Paris, the year after, thus inscribing me, for the years to come, in the great Daoist tradition with a clear underlying presence of Γῆ , "land" or "earth".
  • 1971 (winter 71/72) when I am first acquainted with the 周易Zhōu yì  through Stéphane Benedetti, 合気道の先生, Nipponophile, member then of the GUD and a good friend  and I am given my first reading  or better my first circumnavigation calculation   i.e.  56  (lǚ), "Le Voyageur"   "Sojourning" or "the wanderer", also "travelling", hexagram of which the inner trigram is ☶ ( gèn) bound = () mountain, and the outer trigram is ☲ ( lí) radiance = () fire.
  • 1971-1972 Metal Pig to Water Rodent => (1972X10: 台灣 at first loyal to my original path which went bent upon the second sojourn, i.e. through the pursuit of fiduciary means of consequence)

2020    Year of Passage (4)

  • 2020 (06/30) after 7 times 7 years ensuing, 49   (gé) i.e. a revolution later  "Skinning" or "revolution (moulting)" or "the bridle"  with a change of surname, at 36 (1986), from the fatherly Gay to the Gray Wanderer, I have started my 71st solar revolution, as I no longer can invoke the limitation, the restraining ordeal encountered, notably in the Dark Region, the Dark Chasm, Nigeria, where flows the "River of Rivers" Egerew n-Igerewen ⴻⴳⴻⵔⴻⵡ ⵏⵉⴳⴻⵔⴻⵡⴻⵏ.
  • 2020 (10/05) when I am aware of the 麒麟舞, Dance of the Unicorn as I am about to enter the Jubilee Year that will last until October 2021.
  • 2020 (11/18) when I make use of an internet site to interrogate, almost casually, the "oracle", as Neo did once and obtain, as result of this query,   56  (lǚ), "Le Voyageur", anew.

2021   Jubilee Year (5x)

  • 2021 (01/01) Out of slavery and debts. 3rd exit
  • 2021 (02/12) Out of the first year of the new cycle (Year of the Metal Rodents) and into the (Metal) Ox-fording new entry: "Repasser à gué"1  Endroit d’une rivière où l’eau est si basse et le fond si ferme qu’on peut la traverser sans nager ni s’embourber  « Chercher le gué du temps.» (Michel Deguy)  homophone de gai²/gay²/guai/guet/ exercice du 63
  • Return upon stability
Un gai visage
1  Repasser à gué/Gay, l'année du Buffle, déjà contraire en sa nature à la bonne conduite du Tygre: a true opportunity
Ranking order: Second 
Hours ruled by the OX: 1 am - 3 am 
Direction of its sign: North-Northeast 
Season and principal month: Winter-January 
Corresponds to Western sign: Capricorn 
Fixed Element: Water
Stem: Negative 
Mine is the stabilizing force ☶ ( gèn)
That perpetuates the cycles of life
I stand immobile against the
Test of adversity.

Resolute and unimpeachable.
I seek to serve integrity,
To bear the burdens of righteousness.
I abide by the laws of nature-
Patiently pushing the wheel of Fate.
Thus, I shall weave my destiny.

I am the Ox.

² From Old French gai, from Old Occitan gai, from Gothic *𐌲𐌰𐌷𐌴𐌹𐍃 (*gaheisimpetuous); or from Frankish *gāhi (fast, sudden, impetuous)Frankish *wāhi (pretty); or (per Liberman, Chance, Meier) from Latin vagus (wandering, inconstant, flighty), with *[w] → [g] as in French gaineDoublet of vague in that case. Cognate with English gay and Italian gaio.
French
Emprunt à l’ancien occitan gaijai « pétulent, vif » (par l’influence des troubadours), emprunté à son tour au vieux haut allemand gāhi « soudain, rapide, impétueux ». À comparer avec l’allemand jäh « abrupt, précipité », le luxembourgeois géi « abrupt, escarpé » et le néerlandais gauw « vite, bientôt ».
I. − Adjectif
A. − [En parlant d'une pers., de sa disposition d'esprit]
1. Qui est d'humeur agréable, qui a le sourire facile, le goût de plaisanter, de s'amuser, qui envisage la vie sous un jour favorable, qui prend les choses du bon côté, sans se faire de souci, par légèreté d'esprit ou volonté d'optimisme. Synon. allègre, enjoué, guilleret, rieur.C'est que j'étais, dans ma jeunesse, d'un caractère gai, folâtre, sans souci (Restif de La Bret.M. Nicolas,1796, p. 66).Je suis plus gai que vous, (...) qui sait si je ne suis pas plus sage? Il y a beaucoup de philosophie, croyez-moi, dans mon apparente légèreté (StaëlCorinne, t. 1, 1807, p. 260).J'étais gai, dispos (...). Je me suis égayé et animé par la conversation. J'étais dans mon beau jour (Maine de BiranJournal,1816, p. 189) :
1. Jadis gai, jovial et dispos; à présent triste, morose, ennuyé; naguère ami de la joie, des gros éclats de rire et d'une délirante chanson bachique; lorsque les deux coudes appuyés sur la table, on se presse sans y songer, à côté d'une taille féminine artistement rebondie... JaninÂne mort,1829, p. 35.
SYNT. Gai boute-en-train, compagnon, luron; gais souvenirs; cœur, humeur gai(e), idées gaies; devenir, se montrer, paraître, rendre gai.
♦ Gai comme un pinson. Plein de vivacité, de bonne humeur. Tantôt gai comme un pinson, et tantôt sérieux comme un pape (G. LerouxMyst. ch. jaune,1907, p. 9).
2. En partic.
a) Qui est mis de fort bonne humeur par un excès de boisson(s) alcoolisée(s); légèrement ivre. Synon. éméché.Être un peu gai. Ses yeux brillaient. Il était gai, assez gris (MilleBarnavaux,1908, p. 250).Nous étions tous gais, mais Sénac était ivre, parfaitement ivre (DuhamelDésert Bièvres,1937, p. 137).
♦ Avoir le vin* gai.
b) Qui a le goût du libertinage, des plaisirs frivoles. Le gai Paris. Une des gloires du gai Paris, le fameux « Casino » (...) ce palais du strass, des plumes et des belles gambettes (L'Est Républicain,23 déc. 1979).
3. P. anal. [En parlant d'un animal] Qui se plaît à jouer, gambader. Le moineau franc, gai, taquin (HugoChans. rues et bois,1865, p. 244).Les premiers arrivent, en galopant, une centaine de petits veaux, très gais, très comiques, la queue en trompette (LotiGalilée,1896, p. 118).
− En partic. [En parlant d'un cheval] Synon. de fringant.Comme ils [les chevaux hongroisétaient libres et gais dans la vaste pâture (TharaudQd Israël est roi,1921, p. 226).
− HÉRALD. Cheval gai. ,,Cheval qui n'a ni selle ni bride`` (Ac.).
B. − P. méton.
1. [En parlant (d'un trait) du comportement hum.] Qui manifeste la bonne humeur, le goût de rire, de se divertir, le plaisir de vivre. C'est gai, ce n'est pas gai de (faire telle chose); air, regard, rire, sourire, yeux gai(s); gai souper. Tous les actes religieux du genre gai, les fêtes, les danses, les festins, (...) tout ce qui flatte les sens et l'ame (VolneyRuines,1791, p. 258).Je viendrai (...) avec un visage gai, un esprit gai, un costume gai, tout à neuf (Flaub.Corresp.,1851, p. 336).Elle a rudement raison de prendre un peu de bon temps. La vie n'était pas si gaie ici, après tout (BernanosJournal curé camp.,1936, p. 1180) :
2. Thérivier avait une telle habitude de la bonne humeur, que, même aujourd'hui, sa voix restait gaie, et que son visage barbu, grassouillet, aux pommettes roses, gardait une expression hilare. Mais le constraste de cette jovialité avec l'anxiété du regard lui faisait un masque désaccordé, pénible à voir. Martin du G.Thib., Été 14, 1936, p. 592.
− Par antiphrase. [À propos d'une obligation déplaisante] − Paul : (...) la mère, le fils, l'ami et les invités, (...) tous gens sérieux. − Jeanne : Eh bien, cela va être gai (PailleronMonde où l'on s'ennuie, 1869, I, 4, p. 12). Il faut que je l'aille porter [un billet pour une loge(...) à ce crétin de Grünebaum l'associé de papa, pour qu'il s'y pavane (...). C'est gai!... (RollandJ.-Chr., Révolte, 1907, p. 457).
2. [En parlant d'une œuvre artistique] Qui exprime ou inspire la bonne humeur, le goût de badiner, l'optimisme. Gai refrain, comédie gaie. Synon. comique, drôle, réjouissant.On a fait des satires gaies; je veux faire (...) des satires sombres, tristes et mélancoliques (VignyJournal poète,1834, p. 1007).La forme rondeau (...) mouvement gai et alerte (D'IndyComp. mus., t. 2, 1, 1897-1900, p. 339) :
3. M. Ballavoine (...) a du moins une jolie allure décorative et un agréable assortiment de couleurs fraîches (...). Ses femmes sont glacées, mais leurs robes violettes, feuille-morte et gris de perle font d'amusantes taches dans ces gais et lumineux paysages où il excelle. C'est de la peinture aimable, divertissante... HuysmansArt mod.,1883, p. 65.
− Vx et littér. Gai savoir, gaie science. Poésie des troubadours. Il écrit, il lit (...). En fait de gaie science il en sait plus qu'un ménestrel de Toulouse (MériméeJacquerie,1828, p. 97).Au Moyen Âge (...) les ménestrels et les improvisateurs, les enfants du gai savoir, tous les vagabonds mélodieux des campagnes de la Touraine (MurgerScènes vie boh.,1851, p. 1).
− Emploi subst. masc. sing. invar. L'Arioste (...) qui réunit tous les tons (...) le gai, le tragique, le convenable, le tendre (DelacroixJournal,1856, p. 258).V. aussi érotique B 3 b citat. Flaubert.
3. En partic. Qui exprime ou inspire le goût du libertinage, des plaisirs frivoles. Synon. gaillard, leste, licencieux.Les Cent nouvelles nouvelles (...) en étaient des imitations [du Décameronfort gaies et fort naïves; la licence y allait au delà de ce qu'avait osé Boccace lui-même (Sainte-BeuveTabl. Poés. fr.,1828, p. 264).Tous les contes gais, exagérant la corruption et l'avidité des filles (StendhalH. Brulard, t. 2, 1836, p. 406).
Rem. Même acception ici que drolatique dans le titre des Contes drolatiques de Balzac.
C. − [En parlant d'un inanimé concr.]
1. Domaine olfactif, visuel, etc.Qui dispose à la bonne humeur, au sourire, à l'enjouement, par ses qualités agréables (clarté, vivacité, légèreté, etc.). Appartement, lumière, pièce gai(e). Synon. agréable, vif.Le bonheur que peut donner un rayon de soleil gai et frais (Barbd'Aurev.Memor. 2,1838, p. 287).Un gai moulin, sur l'eau joyeuse du canal, Fait, en tournant sa roue, un bruit clair qui patauge (NoaillesÉblouiss.,1907, p. 213).Le papegai prend plaisir à se voir si bien habillé de vert. Ne nomme-t-on pas le vert de ses plumes vert gai? (A. FrancePt Pierre,1918, p. 159).Des odeurs vertes et gaies, encore pointues, encore acides (SartreMort ds âme,1949, p. 45).V. aussi bouée ex. 1.
♦ Temps gai. ,,Temps serein et frais`` (Ac.).
♦ Vin gai. Vin agréable à boire et qui émoustille. Le plus aromatique, (...) le plus gai et le plus généreux, était le vin du territoire d'Antylle (Du CampNil,1854, p. 313).Excellent champagne (...) c'est un vin gai (ZolaBouton de Rose,1878, II, 14, p. 264).
− Emploi subst. masc. sing. invar. Le gai, le brillant [des plantesindiquent la souche américaine (ArnouxCalendr. Fl.,1946, p. 338).
2. Vx, ART CULIN. Four gai. Four vif. Vous dorez légèrement le dessus et le mettez au four gai (Gdes heures cuis. fr., Carême, 1833, p. 150).
II. − Emplois interj. et adv.
A. − Emploi interj. [Pour inciter à l'action, au courage, à la bonne humeur (surtout dans les chansons populaires)] Gai! gai! serrons nos rangs; En avant, Gaulois et Francs! (BérangerChans., t. 1, 1829, p. 73).Gai, gai, gai, le tonnelier, Raccommodez votre cuvier! (BalzacE. Grandet,1834, p. 189).Gai, gai marions-nous Avec la soupe au chou (JammesDe tout temps,1935, p. 75).
B. − Emploi adv. Synon. de gaiement.Il allait gai, avec toutes sortes d'aimables enfantillages, qui me disaient tendrement : (...) Je vais mieux, je suis en train (GoncourtJournal,1870, p. 552).Signoret, trop d'emphase (...). Jouez gai! (RenardJournal,1903, p. 812).Il riait haut et gai (BourgetSens mort,1915, p. 10).
Prononc. et Orth. : [ge], [gε]. Le masc. et le fém. sont parfois donnés comme distincts, quant à la durée et/ou quant au timbre de la voyelle : [e~ε:] (Fér. 1768, FérCrit. t. 2 1787), [e~e:] (Nod. 1844, Littré), [ε~e:] (Gattel 1841). Voir, en dernier lieu, Rouss.-Lacl. 1927, p. 141 : ,,Gaie a un fermé comme le masc. à Paris, un ouvert en province``. Forme en [ε] en progrès, tous genres confondus, ,,sous l'influence de l'écriture`` (Buben 11935 § 5). Martinet-Walter : [ge] ou [gε] (9 et 8). Ds Ac. dep. 1694. Étymol. et Hist. 1. 2emoitié du xies. « qui est d'humeur riante (en parlant d'une personne); qui exprime la gaieté (visage, etc.) » (Levy Trésor, p. 121); ca 1155 « id. » (WaceBrut, éd. I. Arnold, 1564); 2. ca 1225 tens ... gais « qui inspire la gaieté, temps agréable et doux » (Durmart le Gallois, éd. J. Gildea, 924); 3. ca 1300 vert gay « vert clair, jaunâtre (en parlant d'un bouillon) » (TailleventViandier, éd. P. Aebischer, p. 94). Peut-être empr. de l'a. occitan gai « pétulant, gai » (dep. Guillaume IX ds FEW t. 16, p. 9 a; v. aussi Levy (E.) Prov.), lui-même issu du got. *gaheis « impétueux » (cf. a. h. all. gāhi « id. », all. jäh « brusque »), provenance qui serait due à l'infl. des troubadours (FEW, loc. cit.), ou plus vraisemblablement mot issu directement de l'a. h. all. gāhi d'où la forme attendue jai (xiiies., Pastourelles, éd. J. Cl. Rivières, CIX, 8). La prédominance de la forme avec g- s'explique en particulier par les interférences constantes entre gai et gaillard (v. DEAF, col. 35, s.v. gai). Fréq. abs. littér. : 3 883. Fréq. rel. littér. : xixes. : a) 5 466, b) 8 287; xxes. : a) 6 530, b) 3 480. Bbg. Arickx (I.). Les Orthoépistes sur la sellette. Trav. Ling. Gand. 1972, no3, p. 131. - Grundt (L.-O.). Ét. sur l'adj. invarié en fr. Bergen-Oslo-Tromsø, 1972, p. 46, 138, 221, 229. - Sain. Sources t. 1 1972 [1925], pp. 87-88; t. 3 1972 [1930], p. 255. - Walt. 1885, p. 97.

De l’ancien français gai.
Nom de famille 
Gay \ɡe\ masculin et féminin identiques
Nom de famille.
Désirée Gay.

Irish

gai m (genitive singular gainominative plural gaethe)

  1. Obsolete spelling of gae (spear, dart; ray)

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